• Si vous voulez faire quelque choses d'utile portez votre masque en toute situation. N'oubliez pas que lorsque vous ne portez pas votre masque vous entraîné d'autres personnes à faire la même chose. Si demain tous le monde porte le masque pendant deux à trois semaines nous pouvons nous en sortir. Faites passer le message. Pensée et soutient pour Nico urbex player from aix la désenchantée touché par la covid. If you want to do something good adopt mask atitude all over. When you haven't your mask you sent a bad message. If everybody have a mask maybe you can exit to the evil. Have a positive thought for Nico urbex players who are touched by covid.    

    Chacun au prix de mille efforts pourra constater de son bien être. Cette logique semble s'apparenter à de la rigueur, de la persévérance là où pourtant d'autres tenants mènent la danse. Dans ce schéma, sauf à être parmi les plus démunis à tous point de vue, chacun pourra trouver sa place.

    De la sorte, le caractère pénible de la vie tiens bien souvent à sa propre valeur. Or l'estimation de cette sorte de capital à la fois si vaste et tellement petite au regard du monde n'est finalement réalisée que par celui qui l'engendre. Depuis ce point de vue, le jugement de tiers revient à un simple alibi pour justifier de sa propre conduite.

    Celui qui réalise que ses jours ne sont pas si malheureux s'abstrait en quelque sorte de ses congénères qui par leur multiple forcent à la modestie. L'être humain dans le groupe doit bruler de plaisir en son intérieur pour tendre à s'affranchir du lourd fardeaux de tous ses destins rêvés comme sien.

    Admettre de sa position ressort donc comme un effort intense avec ses stigmates. La révélation d'un univers quotidien, petit, centralisé, loin de nos phantasmes pourrait être une mise en échec. Comment accepter l'inacceptable, la richesse de ses camarades de classe qui visiblement sont tous propriétaires de longue date. Dans cette somme de revendication se mêle et s'entremêle les désirs pour proposer le plus vaste panel de frustration à la hauteur de la prodigieuse imagination humaine.

    Dans cette liste sans fin se joue une concurrence féroce les uns voulant devenir les autres. Sur cet immense marché les rêves les plus originaux côtoie les plus étriqués, les demandes sont infinie, insatisfaite, permanente.

     

    (A suivre demain)

     


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  • Presque des yeux de veaux

     

    Comme dans un blackout, voilà que tous les feux des indicateurs sont au rouge. Paralysé, le trafic est plongé dans une profonde inertie. Si certains jouent du klaxon pour se faire entendre, d'autres plus rêveurs envisagent des solutions. Le vieux Hank, bien à l’abri dans son camion, organise un inventaire de son petit réfrigérateur. Tels des cygnes fous, les automobilistes ont des yeux de porcins. Les plus aguerris singent un flegme citadin et tentent de faire honte aux autres : les porcins.

     

    Au pied du vieux tunnel, les symboles lumineux qui désignent les files sont grippés, leur beauté ruinée par la cadence du trafic. En somme, tout est plus laid, jusqu'au bruit du quotidien qui d'un coup ressurgit. Un arrêt doit décidemment être rudement bien préparé. A bout de souffle, le système financier peine à envisager un ralentissement, refuse de faire une étape. Parmi les véhicules, un automobiliste hirsute est mal en point, cette sorte d'embouteillage bien brutal est sa hantise : l’homme déteste l'inaction.

     

    De cette façon, les puissances économiques ne connaissent pas de relâchement. Sur l'aire d'autoroute, aucune d'entre elle n'est présente. Ces dernières préfèrent envisager des cycles ininterrompus dans le cadre desquels, la faiblesse correspond au retard pris avec des temps de pause. La pression de ce protocole est si forte que le terme même de pause en a été réduit. En effet, seul des voies de de décélération, de détresse sont accessibles et encore, ces dernières sont réservées aux cas d'extrême urgence.

     

     

    Tonton casse le château de sable inachevé

     

    Dans cet entre soi, la notion de vitesse dans la réalisation des actions est essentiel et en quelques sortes implique une remise à niveau permanente des références établies. Le temps, les moyens admit pour réaliser un acte hier deviennent obsolètes aujourd'hui excluant tout temps réservé à la contemplation du travail, du progrès réalisé : le château de sable n'est jamais terminé. A cette fin, la structure financière organise un flux permanent d'activité et ainsi de développer une force coercitive exercée sur l'ensemble des individus.

     

    Ces derniers guidés par la main invisible des marches n'ont d'autres choix que d'adhérer aux limitations de vitesse minimum autorisées. En cas de d'excès, la sanction sociale est immédiate, parfois violente. Depuis le sort des individus intériorisant leur frustration jusqu'à leur somme, le problème de vitesse s'impose au plus haut niveau. La question de la direction, de but à atteindre au-delà d'un parcours à réaliser est posée.

     

    Face à cette soif de bonheur : une forme de calme organisé. Le monstre financier a prévu le spectre de la peur menaçant de trouver du vide à la fin de la terre. Comme des avions dans un meeting aérien, les courbes de l'économie ont connu une envolé fulgurante depuis les premières vapeurs de la Révolution industrielle. Bien loin des préoccupations de Watt ou de Papin d'opérer à un désenchantement du monde, les savants d'aujourd'hui œuvrent au développement de projets ficelés où l'humanité n'a aucun droit de regard.

     

    La main qui enlève les plots

     

    Quelques normes discrètes assurent un timide contrôle là où les hommes volants faisaient du ciel une sépulture. Comme collé à la vitre d'une voiture sur l'autoroute, le passager de cette deux cent cinq grise aime regarder les bandes blanches, les ponts qui passent à toute vitesse. Du reste, cet être est atteint d'un mal profond, sa vue ne cesse jamais d'être comme au travers de la vitre d'un véhicule. Un mégot au pied de la table en rondin de l'aire d'autoroute captive l'attention d'une pie : Rodrigue ne peut profiter du spectacle joué à son attention.

     

    Comme en mode crise majeur, les autoroutes encombrées affichent un protocole spécifique, cette couleur noir qui rend les lèvres sèches. Un panneau lumineux prévoit un temps de parcours de deux heures trente, un semblant de normalité dans ce monde chamboulé. De cette façon, les équipements de crises sont les plus connus comme ces impressionnantes saleuses ou ces panneaux annonçant par voie LED orange un accident. Ces stars du bitume laissent peu de place au banal décorum routier. Placés à chaque kilomètre, qui rêve devant ces panonceaux énonçant les points kilométriques ?

     

    Les jalons habituels de la finance deviennent ces temps derniers invisibles. Démesurés, les outils de crises ont par leur gigantisme ombragés des pans entier d'infrastructure. Si le spectateur apprécie la manœuvre et contemple le pompier au travail; la pièce doit enfin connaître une issue. Ainsi, le rôle des agences de notation passe d'exotique à défaillant tant leur emprise est permanente. Loin du conseil, les cabinets tendent à mordent le bras de leur malade. 


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  • Tout est décidément si difficile. Dans cette perspective, mieux vaut être unis à tout le moins partager avec d'autres. A propos de ces compagnons d'infortunes, chaque catégorie en appel à ses ouailles sonnant le tocsin. Autour d'une famille, d'un emploi, d'une classe, les uns et les autres sauront faire correspondrent les maux de tous les jours.

    Comme inaudibles, les revendications de tous ces êtres se perdent, absorbées par des canaux de représentation généralistes. Dans l'ombre, les communautés minoritaires ont su garder de leur superbe. Lorsque tout à chacun doit s'en remettre aux règles sociales, aux normes économiques, le déviant poursuit sur son chemin de traverse. Pour les autres nuls n’est question de quitter la route sous peine de perdition.

    Sans être asservies, les biens pensants servent leur malheur : leurs états est si facile à contrôler. Etre Formatés, c'est par un jeu de protocoles, de dialogues bien huilés que la civilisation perdure. A contre-courant, certains dérivent en marge bien à l’abri de leurs différences.

    A l'exemple, l'indifférence réservée aux clochards devenus depuis des sans-abris. Jeunes errants et vieux briscards de la rue continuent ainsi à exercer leur savoir s'affranchissant par la même du cadre générale, de la morosité organisée. En sus d'être sous camisole narcotique ou alcoolique, le SDF mène une existence souvent détachée de son contexte d'exécution. Dans les rues desertes, là ou Robert urine sur le mur, Raphaël patiente envisageant la proximité d'une sanisette.

    Le rejet produit-il cette sorte d’isolement ? A n'en point douter, l'indifférence organisée semble bien plus efficace. Les oubliés de la République qui rechignent à revendiquer sont ainsi. La communauté diffuse des traveller’s amateurs de free-party siée bien à cet état social. Posé entre deux voies rapides, Marine et Florent n'envisage pas une minute leur campement comme un vecteur d'humiliation. Le soir venu, en cette nuit d'été, le jeune couple boit des bières en regardant les voitures filer. Qui parmi les automobilistes à remarquer cette petite cabane posée non loin de la chaussée.

    Peu de spectateur donc pour un spectacle sans publicité. Dénué d'institution, les buveurs de bord de route évoluent sans filet mais avec si peu de barrières. La liberté aurait-elle trouvée son prix ?  


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  • Des frustrations institutionnalisées

    Dans la masse sociale en ébullition, des voix s'élèvent pour crier leur frustration. Loin d'être arrivé à une position admise comme convenable, la "France d'en bas" voit en sus sa condition révélée à tous. Si jadis le bonheur d'une vie d'honnête travailleur était vendu comme romantique à tous le moins exemplaire, les nouveaux stéréotypes renvois vers une réalité beaucoup plus triste.

    Entre actif médiatique et Comédie humaine, les supports d'informations transpirent jusque dans les conversations de la terrible vérité. Ainsi, au cours des repas, dans les familles, les plaintif voit consacrer leur parcours tandis que les obstinés rasé de prêt matin après matin dévissent. La population fuit, suit ou courre plus loin posée devant ce miroir. Certains sont exposés à titre d'échantillon : leur vie de beauf résumée en épisodes dans une sorte d'émissions consacrées.

    Plus loin, des votes massifs vers des parties aux solutions aussi extrêmes qu'inadaptées dans un contexte en état de décomposition permanente. Par-là, certaines des variétés les plus abouties de la frustration sont évacué. A dire vraie, le Front nationale repose sur ce processus de transfert. Il s'agit pour les sommes d'individus tenus en dehors de l'élite de mutualiser les ressentiments pour dans un second temps procéder à leur justification.

     

    L'usine à faire du racisme

     

    Le système de mise en classe des sociétés tend à induire ce phénomène avec plus ou moins de force de telle façon que ce dernier s'accélère lorsque les écarts entre les premiers et les derniers des membres d'une populations deviennent trop importants ou encore trop visibles. Avec la mise en abime de la réussite au travers d'une actualité poursuivit par la fiction semble être l'un des facteurs qui poussent de plus en plus d'individus à s'interroger sur leur position vis à vis de leurs semblables.

    Sans réponse ferme, la culpabilité s'impose vite comme une solution dans le cadre d'une réflexion des plus rationnels. Or nombreux sont ceux qui transgressent cette simple équation pour transférer à d'autres la responsabilité de leur parcours, la qualité de sa représentation dans la société. En marge de ces actions, la production de racisme tourne à plein régime. Dans ce paradigme l'étranger à la communauté est la source des malheurs d'une part de sa contingence. Les adhérent à ce schéma usent alors du vote d'extrême droite pour exprimer leur penser.

    A ce point il s'agit de proposer l'offre du Front national comme une aubaine pour certains et comme une alternative pour d'autres qui n'avaient pas pût définir par eux même de responsables à leurs maux. En tous cas, qu'ils soient producteurs ou demandeurs de solutions basées sur le rejet de tiers personnes, les cohortes de sympathisants cherchent en réalité à fuir une triste réalité : la représentation de leur position sur l'échiquier social.

     

    Coller la photos de vos enfants ici

     

    Loin d'être une bonne option, la production de racisme est aussi dangereuse qu'inéficace même à poursuivre les projets de chacune des personnes qui y contribue. Pire pour ces derniers, si les individus assimilés comme "étranger" n'étaient plus présent sur notre territoire, les plaintifs tout autant que les obstinés seraient immédiatement affectés aux calendes de la société assumant à leur tour pour le reste de la population la fonction de Léviathan social.

    Dans l'ornière, l'économie et à travers cette dernière, les hommes usent et abusent de moyens voir d'astuce pour justifier de leurs sorts. Dans ces conditions, une somme d'efforts est fournie à pure perte puis absorbée dans une sorte d'enchevêtrement au trait des plus administratifs.

    La fin de l'industrie en France est devenue un des éléments composite incontournable pour qui doit justifier de la décadence infernale de l'économie française. Reste le phare de l'innovation tentôt mirage tentôt iceberg.

     

    Comment lire un blu ray avec un magnétoscope

     

    Sur ce point, les états encore notés comme développés doivent compter sur une concurrence franche et abrupte des autres nations. Par-là que de naïveté que d'avoir cru pouvoir conserver sur un temps long le monopole de la qualité, de la créativité. Dans cette vision tronquée, la production apparaissait comme l'élément faible du dispositif tandis que la recherche était survalorisée.

    A ce moment de la compétition, les plus pertinentes des innovations sont rapidement dépassées pour d'autres programmes de recherches. Comme le DVD fut éphémère, le blue ray devrait rester à l'état de comète vis à vis d'invention comme l'ampoule électrique qui sont restés d'usage pendant des dizaines parfois des centaines d'années.

    Dans cette fourmilière, les voies de la réussite d'un état de facto évalué par la santé de son économie semblent pour le moins impénétrables. La piste la plus probable semble correspondre au poids du genre humain, à la volonté des êtres de lutter pour parvenir au-delà de leurs conditions.

     

    La révolution de chaire et de fer

     

    Comme à la première heure de la Révolution industrielle, les entrepreneurs apparaissent comme les potentiels sauveurs, ceux qui demains sauront convertir le ressentiment des uns et des autres en force de travail.

    Dans ce dessin de reconquête, ces nouveaux patrons devront porter des valeurs qui jusqu'à présent n'ont été véhiculées que part le Droit, transmises depuis les faits sociaux jusqu’aux élites puis enfin redistillées çà et là en textes de lois.

    Si à travers l'engagement social, le tissu syndical, associatif parfois le management, tout restes possibles de façon sporadique, le pays demeure en souffrance de dynamisme. Les restes du communisme mais surtout l'essor du protestantisme en Allemagne reste l'un des principaux ressorts de sa réussite actuelle.

     

    Luther et Allah comme vesteur de réussite

     

    Là où dieu est partout, les ouailles peine à la tâche. Loin d’être comparable, les prêche télévisuels n'ont pas ces même propriétés mais restes de façon indissible comme une somme de références inefficaces à faire prospérer une nation. Là où les Allemand bénéficient des traces du protestantisme implanté de façon incrémentale, les français conservent sous forme de relique les traces d'une chrétienté à la Borgia.

    La force de la religion protestante semble avoir été conservée bien au-delà des périodes d'apogé. A la façon de particules radioactives, les valeurs des prédicateurs ont durablement induit une logique, une somme de référence placée en marge du contexte actuel. Si la France ne possède pas ce type de pare-feu, la soif de reconnaissance, l'envie d'évoluer socialement est à la marge guidée par des préceptes religieux. Dans ce cadre, le plaintif comme l'obstiné transfert leurs culpabilités vers dieu ce qui apparaît comme une entreprise plus risquée qu'un simple déport vers les populations assimilées comme étrangères.

    Le dynamisme avéré notamment au travers de commerces, de nombreux membre de la communauté musulmane semble être la forme la plus présente du tandem religion innovation en France. Bien mal avisé les "racistes" poussent au dehors ceux qui demain pourraient être à l'origine de l'activité. 


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